Marcols-les-Eaux

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Marcols-les-Eaux
Marcols-les-Eaux
Vue aérienne de la commune.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Privas
Intercommunalité CA Privas Centre Ardèche
Maire
Mandat
François Blache
2022-2026
Code postal 07190
Code commune 07149
Démographie
Gentilé Marcolais
Population
municipale
275 hab. (2021 en diminution de 12,14 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 48′ 54″ nord, 4° 24′ 01″ est
Altitude Min. 671 m
Max. 1 345 m
Superficie 16 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Haut-Eyrieux
Législatives Première circonscription
Localisation
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Marcols-les-Eaux
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Marcols-les-Eaux
Liens
Site web https://marcols-les-eaux.fr/

Marcols-les-Eaux est une commune française située dans le département de l'Ardèche, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont appelés les Marcolais[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation et description[modifier | modifier le code]

La commune demeure essentiellement rurale et se situe à l'écart des grandes voies de communication régionales. Elle est située dans le Parc naturel régional des Monts d'Ardèche

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La plus grande partie de la commune est constituée de montagnes et de collines rocailleuses et abruptes. Le point culminant est à une altitude de 1 345 mètres et la très grande majorité du territoire communal est couvert de forêt ou de bois.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la Glueyre et la Veyruègne.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 459 mm, avec 8,8 jours de précipitations en janvier et 5,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St-Pierreville », sur la commune de Saint-Pierreville à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 393,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Marcols-les-Eaux est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (92,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (71,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %), zones urbanisées (2,4 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 272, alors qu'il était de 268 en 2013 et de 270 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 37,1 % étaient des résidences principales, 46,3 % des résidences secondaires et 16,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 88,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 11,8 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Marcols-les-Eaux en 2018 en comparaison avec celle de l'Ardèche et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (46,3 %), très supérieure à celle du département (18 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 74,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (77,5 % en 2013), contre 66,9 % pour l'Ardèche et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Marcols-les-Eaux en 2018.
Typologie Marcols-les-Eaux[I 1] Ardèche[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 37,1 72,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 46,3 18 9,7
Logements vacants (en %) 16,5 9,7 8,2

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

  • La Pervenche
  • Mauras

Toponymie[modifier | modifier le code]

Connue sous le nom de Marcovolos au XIe siècle[réf. nécessaire][Information douteuse] puis Marcouls au XIIe siècle [réf. nécessaire], la commune devient Saint-Julien-d'Ursival (première mention en 1573)[réf. nécessaire], Saint Julien étant le patron de la commune. En 1464, la paroisse comptait 64 habitants[14]. La commune devient ensuite Marcols en 1790 puis Marcols-les-Eaux en 1912.

Histoire[modifier | modifier le code]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1912, 900 hectares de la commune (soit 36 % de sa superficie d'alors) sont détachés pour être érigés en commune indépendante formant ainsi Albon-d'Ardèche[15].

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Les tombes des six aviateurs de la Royal Air Force tués dans le crash de 1943, au cimetière communal.

Le , un avion de la Royal Air Force effectuant une mission de parachutage d'armes aux maquisards locaux s'écrase sur le rocher du Bourboulas, situé sur le territoire de la commune. Six aviateurs sont tués sur le coup. Cinq d'entre eux sont enterrés ultérieurement dans le cimetière communal. Leurs tombes sont toujours visibles. Le seul survivant, le sergent mitrailleur de queue John Brough, parvient à rejoindre la ferme Sénoulis de la famille Croze. Il est ensuite pris en charge par Marie Giraud à Marcols-les-Eaux et regagne l'Angleterre grâce à la Résistance. À sa mort en 1994, ses cendres sont dispersées selon son désir dans le cimetière de Marcols-les-Eaux, près de ses compagnons d'infortune[16].

Le , l'aviation allemande bombarde à plusieurs reprises le village entraînant la mort de trois civils (Émile Chabriol, Julie Chabriol et Louise Souche). Une plaque commémorative rappelant cet épisode sanglant est posée au cimetière.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Privas du département de l'Ardèche.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Saint-Pierreville[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Haut-Eyrieux

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Ardèche.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Marcols-les-Eaux était membre de la communauté de communes des Châtaigniers, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé sous le nom de communauté de communes des vallées d'Auzène à Glueyre fin 2002 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, cette intercommunalité a été dissoute et certaines de ses communes, dont Marcols-les-Eaux ont rejoint le , la communauté d'agglomération Privas Centre Ardèche.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Politiquement, la commune penche plutôt à gauche lors des élections nationales plaçant Jacques Chirac en tête au premier tour de l'élection présidentielle de 2002 (29 % des voix) puis Nicolas Sarkozy en 2007 (38 %). Au second tour de l'élection de 2007, Nicolas Sarkozy l'emporte sur Ségolène Royal dans la commune avec 54 % des voix contre 46 % à son opposante socialiste[17].

Lors du premier tour de l'élection présidentielle de 2017, les quatre premiers candidats sont Jean-Luc Mélenchon (23,33 %), Emmanuel Macron (21,67 %), François Fillon (19,17 %) et Marine Le Pen (15,83 %). Lors du second tour, le candidat élu Emmanuel Macron obtient 81 voix (78,64 %) et Marine Le Pen 22 vois (21, 36 %). Lors de ce scrutin, 25,15 % des électeurs se sont abstenus[18].

Lors du premier tour de l'élection présidentielle de 2022, les quatre premiers candidats sont Jean-Luc Mélenchon (24,43 %), Emmanuel Macron (22,14 %), Marine Le Pen (19,08 %) et Jean Lassalle (6,87 %). Lors du second tour, le candidat élu Emmanuel Macron obtient 67 voix (65,05 %) et Marine Le Pen 36 voix (34,95 %). Lors de ce scrutin, 25,00 % des électeurs se sont abstenus[19].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Élue lors des élections municipales de 1945, Marie Giraud est l'une des premières femmes maires de France[20].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1945 octobre 1947 Marie Giraud[Note 2],[22]
1899-2000
  cheffe d'entreprise, résistante
Médaille de la reconnaissance française
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988[23] 1990 Michèle Hilaire    
décembre 1990 mars 2001 Marcellin Dumas
( ? -2010)
PCF Ancien maire du Pouzin (1977 → 1989)
mars 2001 2014 François Blache   Agriculteur
2014 mai 2020 Michel Gemo   Retraité d'une entreprise publique
mai 2020 juillet 2022[24],[25] Bernard Justet   Cadre retraité
Démissionnaire
octobre 2022[26] En cours
(au 16 décembre 2022)
François Blache   Agriculteur

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 275 habitants[Note 3], en diminution de 12,14 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6831 6431 7151 6041 7731 8551 8891 9761 955
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8691 9131 8771 9011 9901 8961 9611 8671 956
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9271 9221 791823818737692730597
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
601454353325300301326334310
2018 2021 - - - - - - -
287275-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Médias[modifier | modifier le code]

Deux organes de presse écrite sont distribués dans la commune :

Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et diffusé à Privas depuis 1999. Il couvre l'actualité pour tout le département de l'Ardèche.
Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition du Nord-Ardèche (Annonay - Le Cheylard).

Cultes[modifier | modifier le code]

L'église (propriété de la commune) et la communauté catholique de Marcols-les-Eaux sont rattachées à la paroisse catholique de « Sacré Cœur en Val d’Eyrieux », elle même rattachée au diocèse de Viviers[30].

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le moulinage de La Neuve construit en 1860, dont on peut apercevoir dans la salle voutée les moulins mis en place en 1937 et dont l'activité a cessé en 1967.
  • Deux anciens volcans dominent le village ; au sud : la Graveyre accessible par la route (beau panorama), au nord-ouest Le Don où subsistent les ruines d'un ancien château médiéval (XIIe siècle) avec un panorama sur sept départements par temps clair. Curiosité géologique : la présence permanente d'eau dans un puits au sommet (probablement due à une cheminée volcanique).
  • L'ancienne source d'eaux minérales au lieu-dit « le Gauchère ».
  • Le château de Chabriol, celui du Roux, les ruines du château du Don, ancien fief protestant des comtes de Launay d'Antraigues, tenu par Jean-Pierre Descours, écuyer et détruit, en 1633, par les troupes du capitaine Antoine Chabalier, sieur du Cheylard[31].
  • L'église Saint-Julien de Marcols-les-Eaux du XVIIe siècle.
  • Le four à pain et le moulin du hameau de Mauras.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Auguste Blache (1877-1967), décorateur et sculpteur français, y est né. et y est mort.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Marcols-les-Eaux possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La place située devant le Moulinage de la Neuve, qu'elle dirigeait, porte son nom depuis 2010[21]
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Marcols-les-Eaux (07190) », sur habitants.fr, SARL Patagos (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Marcols-les-Eaux et Saint-Pierreville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « St-Pierreville », sur la commune de Saint-Pierreville - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « St-Pierreville », sur la commune de Saint-Pierreville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. MOLINIER Alain (1976), Paroisses et Communes de France - Ardèche, Éditions du CNRS, p. 220
  15. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. Drame aérien de Bourboulas
  17. « Résultats de l'élection présidentielle 2007 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Commune de Marcols-les-Eaux », Résultats de l'élection présidentielle 2017, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  19. « Commune de Marcols-les-Eaux », Résultats de l'élection présidentielle 2022, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  20. Fiona Moghaddam, « En 1945, les premières femmes élues maires en France », franceculture.fr, 2 mars 2020.
  21. « Marie Louise Giraud: une femme un destin – première maire d’Ardèche », Histoire et Patrimoine, sur lamastreassociationrad.fr, Rassemblement autour du Doux, (consulté le ).
  22. Laure Fulas, « Marie Giraud, première femme maire de l’Ardèche et résistante : La Demoiselle a été élue maire en mai 1945. Pendant deux ans, Marie Giraud a dirigé le conseil municipal de la petite commune de Marcols-les-eaux en Ardèche. Il n’y a pas que son élection qui a marqué le territoire mais aussi son parcours de Résistante pendant la Seconde Guerre mondiale », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de le République », Journal officiel de la République française,‎ , p. 4787.
  24. Laure Fumas, « Pourquoi le maire et un élu ont démissionné », Le Dauphiné libéré,‎ 4/7/2022 mis à jour le 7/7/2022 (lire en ligne, consulté le ).
  25. Laure Fumas, « Démission du maire : pourquoi le conseil municipal s’est braqué : Le maire de Marcols-les-Eaux, Bernard Justet (SE) a démissionné à cause de fortes tensions au sein du conseil municipal. François Blache (SE), le premier adjoint, donne la version des faits », Le Dauphiné libéré,‎ 6/7/2022 mis à jour le 7/7/2022 (lire en ligne, consulté le ).
  26. C.L.N, « La commune a un nouveau maire, François Blache », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Site de la paroisse Sacré Cœur en Val d’Eyrieux.
  31. « Genéalogie de Jean-Charles de Portes ».